Rencontre avec Anggun

le blog

par Farouk VALLETTE
le 23.05.12 à 17:25

Rencontre avec Anggun

Sébastien Barké a interviewe Anggun pour le compte du site Toutelatele.com. Voici la partie de l’interview qui n’a pas été publié dans la brève que le site a consacrée à notre représentante.

Eurofans : Où en êtes-vous aujourd’hui ?

Anggun : Le travail est en cours. Nous étions beaucoup plus à l’aise lors de la seconde répétition. Mais tout n’est pas encore parfait. On doit encore ajuster les axes de certaines caméras.

Vous avez pointé du doigt ces images des répétitions diffusées sur le net…

Cela fait cinq ans que les délégations réclament l’exclusivité de ces images qui, pour la plupart, ne présentent qu’un seul angle de vue. Ces vidéos ne devraient servir qu’à nous.

Tout se passe comme vous l’imaginiez ?

Il y a beaucoup de retard sur les plannings. Pourtant, on m’avait dit que l’année dernière, en Allemagne, tout était réglé au millimètre. En tout cas, j’imaginais parfaitement ce genre d’effervescence. C’est vrai qu’on a pas mal de contraintes de sécurité. Mais je m’amuse quand même. C’est essentiel. Parce qu’Echo (you and I) n’est pas une chanson facile. Soit on adore, soit on n’aime pas du tout.

Votre relation avec les autres concurrents ?

On s’entend plutôt bien. Tooji, le représentant de la Norvège, est venu me voir dans ma loge. Il est tellement beau qu’il faut regarder ailleurs. Les Suisses sont également adorables. On s’est croisé sur de nombreux événements. Mais on a eu beaucoup de mal à se croiser ici. J’aime aussi beaucoup Pastora, ou encore les Jedward. Ils ont tellement d’énergie mais sont adorables ! Ils sont d’ailleurs venus ici avec leur maman. Elle a dû être servie avec eux quand ils étaient gamins. Sans caméras, ils sont un peu plus calmes. Mais un peu seulement !

De nouveaux duos en perspective, avec les Suisses, notamment ?

Oui, j’aimerai beaucoup ! Normalement, j’aurais dû en faire un avec Loreen. Mais je n’ai pas réussi à accorder mon emploi du temps. Peut-être que l’Eurovision aboutira sur de nouveaux défis artistiques. Je crois aux heureux hasards.